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L'utilisation d'Internet peut-elle entraîner une dépression et la solitude?
L'utilisation d'Internet peut-elle avoir des conséquences défavorables, notamment la solitude et la dépression? Selon Joseph Mazer, professeur adjoint au département des études en communication de l’université Clemson, cette question est courante parmi les chercheurs en ligne.
La recherche a prétendu que Différents facteurs de motivation pour surfer en ligne peuvent entraîner des conséquences négatives, car Internet peut finir par être extrêmement convaincant.
Usage Internet compulsif (CIU) L'incapacité d'une personne à réduire son temps passé en ligne ou à cesser tous ses efforts. Utilisation excessive d'Internet se réfère à la mesure dans laquelle les individus croient que le temps passé à surfer sur le Web n'est pas aussi réel qu'il l'est en réalité, car ils vont jusqu'à perdre la trace du temps en raison de leur comportement sur Internet.
Le rapport indique que lorsqu'une personne ne peut pas contrôler son temps passé en ligne, elle peut être confrontée à la solitude, à la dépression et au temps passé à parler à d'autres personnes en personne, pas seulement en ligne.
L'étude, menée par Mazer et son collègue Andrew M. Ledbetter, de la Texas Christian University, a été publiée aujourd'hui Southern Communication Journal.
L’essai examine comment certaines attitudes en ligne à l’égard de la communication, y compris la capacité d’une personne à divulguer des informations personnelles en ligne, son niveau d’anxiété et ses relations sociales influent sur son utilisation de bien-être.
Les chercheurs ont découvert que lorsqu'une personne était plus encline à divulguer des informations personnelles sur Internet, et plus impliquées dans les relations sociales, elles étaient plus susceptibles d'être des utilisateurs en ligne compulsifs.
Lorsqu'une personne n'a pas de communication en personne, les experts ont déterminé qu'ils étaient fortement attirés vers la communication sociale, ce qui pourrait entraîner le développement du SDI.
Des études antérieures ont affirmé que lorsqu'une personne éprouve de l'anxiété sociale, elle peut se sentir plus à l'aise de parler aux autres en ligne plutôt qu'en personne, ce qui les oblige à rechercher des communications sur Internet.
Une étude menée en 2010 a révélé que les adolescents qui utilisent l'internet de façon pathologique semblent plus susceptibles de développer une dépression que les adolescents qui l'utilisent normalement.
Ces affirmations sont quelque peu contestées par les conclusions de Mazer et Ledbetter, suggérant que certains ajustements concernant leur image théorique de l'utilisateur compulsif pourraient être nécessaires. Les essais antérieurs ont considéré la communication via Internet comme un lieu inoffensif pour communiquer, sans se sentir anxieux. Cependant, ils affirment que les utilisateurs chroniques éprouvent également de l'anxiété lorsqu'ils parlent en ligne.
Les personnes souffrant d'anxiété sociale sont attirées vers Internet, ce qui entraîne une utilisation compulsive en ligne, mais cela ne semble pas favoriser une utilisation excessive.
Les auteurs affirment que les personnes qui utilisent Internet de manière excessive sont davantage en contact avec la réalité de la communication en ligne, la considérant comme une méthode de contact pratique, mais pas toujours idéale en raison du manque de conversations en face à face. Fondamentalement, Mazer et Ledbetter estiment que l’anxiété favorise les UIC, alors que l’efficacité semble stimuler l’EUI.
Selon l’équipe, le CIU se traduit par un mauvais bien-être, mais pas l’EUI. Les sites de réseautage social sont maintenant une méthode de choix pour que de nombreuses personnes, principalement des jeunes, puissent rester en contact les unes avec les autres. Ces sites piquent l'intérêt des chercheurs pour les traits de personnalité susceptibles d'avoir une incidence sur la fréquence et la gravité de l'utilisation d'Internet chez certaines personnes.
Écrit par Christine Kearney
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