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Le ministre vénézuélien de la Santé déclare que l'État paiera pour le retrait des implants mammaires du PIP

La ministre vénézuélienne de la Santé, Eugenia Sader, a annoncé que les coûts totaux de l'enlèvement des implants mammaires en Poly Implant Prothèses (PIP) seront couverts par l'état. Mme Sader a souligné que cette offre correspond à toute femme qui souhaite les faire enlever. Les autorités françaises ont également proposé de couvrir la totalité des coûts. Les implants mammaires PIP présentent un risque de rupture plus élevé, selon les autorités sanitaires françaises.
Sader a ajouté que les femmes ne devraient pas être trop préoccupées et que son annonce ne représente en aucune manière une mesure d'urgence. Elle conseille aux patients de consulter leur médecin et de faire vérifier leurs implants.
Le ministère vénézuélien de la Santé a souligné que l'Etat ne couvrirait que le coût de leur suppression et ne les remplacerait pas par de nouveaux.
Le Réseau des sociétés scientifiques vénézuéliennes (RSCV) a approuvé les recommandations du Ministère et salue leur offre de couvrir tous les frais chirurgicaux et médicaux.
Sader a souligné que les autorités sanitaires françaises ont déclaré:

"Il n'y a pas de risque accru de cancer chez les femmes qui ont reçu
ces dispositifs de silicium PIP. "

Dans un communiqué, le ministère vénézuélien de la Santé a écrit:
"Le risque de rupture est élevé et le gel peut provoquer une irritation qui peut à son tour provoquer une réaction inflammatoire ...
Les autorités françaises recommandent de les supprimer, à titre préventif… une mesure non urgente. (Il existe un mécanisme de remplacement de la capacité de traitement en cas de maladie qui provoque une réaction inflammatoire et une dissociation de la maladie. Autorisations en matière de recommandation et de retrait préventif, pas urgent.)

Sader a déclaré que les patients qui ne souhaitent pas retirer leurs implants devraient passer un examen tous les six mois pour vérifier les ruptures.

Dr. Marisol Graterol, présidente de la Société vénézuélienne de chirurgie plastique (Sociedad Venezolana de Cirugía Plástica) a déclaré:
"Les implants PIP ne posent aucun problème biologique
menace pour les patients. "

Le Dr Graterol conseille à toutes les femmes qui ont reçu ces implants de les faire vérifier par leur médecin. Elle a souligné qu'il n'y avait aucun danger pour la santé et que les patients devaient rester calmes.

Ce n'est pas une urgence médicale, disent les autorités sanitaires françaises

Xavier Bertrand, ministre français de la Santé, a déclaré à ses citoyens que l'annonce concernant les implants PIP ne constituait pas une menace pour la santé humaine - ce n'est pas urgent.
Toutefois, des centres d’information, des cliniques et des centres d’aide gouvernementaux ont été inondés de demandes de renseignements au cours des derniers jours.

Les autorités sanitaires britanniques émettent un message contradictoire

Les responsables britanniques affirment que les receveurs d'implants mammaires du PIP n'ont pas besoin de les faire retirer, ce qui contredit les propos de leurs homologues français.
La MHRA (Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé), l'équivalent britannique de la FDA, insiste sur le fait que rien ne prouve que ces implants présentent un risque de cancer. On estime que 40 000 femmes au Royaume-Uni ont reçu cet implant.
Le ministère britannique de la santé conseille aux femmes concernées de consulter leurs médecins (en particulier, les chirurgiens qui les équipent). 95% des implants en silicone PIP au Royaume-Uni ont été réalisés en privé, et moins de 5% ont été réalisés au sein du Service national de santé (NHS).
Esylllt Hughes, une avocate représentant 250 femmes britanniques dans une action en justice prévue, affirme que plus de 50% des implants se sont rompus (Source: AFP).

Selon l'Association britannique des chirurgiens esthétiques plastiques (BAAPS), PIP a utilisé un type de silicone non médical, utilisé pour la fabrication de matelas. Ces dispositifs sont beaucoup moins chers que les autres produits implantés en silicone et sont plus susceptibles de se rompre.

Poly Implants Prothèses (PIP)

Poly Implants Prothèses, souvent appelée PIP, était une entreprise créée en France en 1991 et produisant des implants mammaires. Il a été fondé par un ancien boucher, Jean-Claude Mas. Selon Wikipedia, le fondateur a travaillé pour la société Bristol Myers (Bristol Myers Squibb) en tant que représentant des ventes médicales pendant 15 ans.
La société a été mise en liquidation au début de cette année. Jean-Claude Mas et sa société PIP sont au c?ur d'une enquête de santé publique.
Le PIP aurait produit environ 2 millions d'implants (100 000 par an pendant 20 ans). Les autorités sanitaires françaises ont indiqué que jusqu'à 300 000 femmes adultes pouvaient avoir des implants PIP adaptés pour réparer les tissus perdus ou augmenter la taille des seins.
Les dispositifs PIP ont été exportés vers d'autres pays d'Europe occidentale, en Australie, au Brésil, en Argentine et dans d'autres pays.
Ecrit par Christian Nordqvist

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