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Soutien des adultes et des pairs pour réduire les effets de l'intimidation

Une nouvelle étude identifie le soutien social des adultes ou des pairs comme un tampon essentiel pour l'expérience de l'intimidation et la santé psychologique des écolières.
Des recherches antérieures suggèrent que la dépression peut mener à des relations toxiques avec les pairs, soulignant la nécessité pour les adolescents d'avoir des relations concrètes avec leurs pairs car cela peut les aider à s'adapter à d'autres aspects de la vie.
Cette étude menée par l'auteur principal, le Dr Martin Guhn, et publiée dans Springer Journal of Happiness Studies, constate également que le soutien social des pairs, des adultes, ou des deux, diminue en réalité les conséquences négatives de l'intimidation chez les écolières, notamment la dépression et l'anxiété.
Guhn et ses collègues ont examiné si la combinaison de niveaux élevés d'intimidation et de faibles niveaux de soutien social avait une gamme d'effets néfastes sur le bien-être des enfants.
Au cours de l'étude, 3 026 élèves de dix ans de 72 écoles de Vancouver, au Canada, ont répondu à des sondages sur leur estime de soi, leur niveau de dépression et d'anxiété et leur satisfaction à l'égard de la vie.

Les chercheurs ont analysé la différence entre les notes attribuées à ces facteurs par rapport aux relations des enfants avec leurs pairs et avec les adultes, ainsi qu’à la fréquence à laquelle ils se sentaient victimes d’intimidation.
Les résultats ont montré que les filles étaient plus susceptibles de déclarer des relations positives avec les adultes et les pairs, une meilleure estime de soi, ainsi que des niveaux d'anxiété plus élevés et une grande satisfaction à l'égard de la vie.
Il n'y avait pas de différences significatives entre les niveaux documentés de dépression et d'intimidation chez les filles et les garçons. L'intimidation verbale et sociale était plus communément documentée que l'intimidation physique, avec 1 garçon sur 6 et 1 fille sur 7 se sentant victimisés plusieurs fois par semaine. La cyberintimidation était assez faible, comme dans les études précédentes.
Guhn et son équipe ont également constaté que les relations de soutien avec les adultes et les pairs étaient associées à la satisfaction de vivre et à l'estime de soi, tandis que l'intimidation était associée de manière significative à la dépression et à l'anxiété.
On a également observé un lien important entre l'intimidation et la faible satisfaction à l'égard de la vie, une faible estime de soi et la dépression chez les filles qui ont constaté de faibles niveaux de soutien social chez leurs pairs et chez les adultes.
Les chercheurs concluent:

"Nos résultats ont des implications pour la promotion du bien-être des enfants dans les contextes scolaires et communautaires, soutenant des interventions qui favorisent les compétences relationnelles et réduisent simultanément la victimisation. Autrement dit, les enfants ont besoin de -étant."

Écrit par Kelly Fitzgerald

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